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 Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv

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«  Unholy Knight ϟ j u a n »
Juan Borgia

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MessageSujet: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptySam 30 Juin - 15:57

Juan avait mal dormi durant la nuit, il ne cessait de penser à ce qui s'était passé la veille avec son épouse et la perte du bébé. Il se posait toujours des questions à propos de cela, du pourquoi, il n'était pas au courant, pourquoi lui avoir caché cela. Il avait finalement fini par se détendre, lorsqu'il s'était rendu dans les jardins de façon énervé et au point de se faire du mal sur ses mains, son ami, son page, Diego Colomb l'avait rejoint pour tenter de le calmer. Certes, au début, c'était en vain, Juan ne voulait pas se calmer, il n'y avait pas de raison qu'il se calme après ce qu'il venait de ce passé. Il avait fini par être plus effondré, montrant un nouvel aspect de lui, quelque chose de rare, des larmes. Et puis, il ne pouvait plus se retenir, finalement, il peut se réconforter dans les bras de son ami. Il avait pu retrouver un peu de réconfort ayant un peu de plaisir, c'était déjà ça. Cela lui avait permis durant un instant d'oublier ce qui venait de se passer, mais cela n'était qu'un instant, car en retournant dans ses appartements qui étaient vides et nettoyés, il recommença à penser à cela. À ce qu'il avait fait, mais il ne repartait pas dans sa colère noire, c'était inutile, comme le disait son ami, ils recommenceront de nouveau, quand sa femme sera plus en forme. Il n'avait pas vraiment pris des nouvelles d'elle avant de dormir, il voulait tout simplement le laisser se reposer cette nuit-là et la laisser seule. Il se sentait encore mal. Borgia avait très mal dormi donc, il s'était allongé sur son lit et il n'a dormi que quelques heures à peine durant cette nuit-là, pas plus, le matin fut dur. Juan n'avait finalement pas pris ce que son ami lui avait donné hier soir, au final, peut-être qu'il aurait dû en prendre pour dormir.

Il était fatigué et il manquait de sommeil. Durant son bain, il demandait si son épouse était dans ses appartements et la réponse fut négative, peut-être avait-elle pris la fuite, où pouvait-elle être, sûrement pas très loin, quelque part dans le palais ou tout simplement à Rome. Si Maria était partie, il l'aurait su, du moins, il espère bien, tôt ou tard, il le serait et puis Borgia n'avait pas accepté qu'elle quitte, il la voulait auprès de lui et ce malgré cette soirée mouvementée en émotion. Il soupira légèrement et puis il est sorti finalement du bain, s'était essuyé puis il est allé s'habiller rapidement. Juan attrapa une simple pomme et ne toucha pas au reste du repas. Il la mangea avant de jeter le coeur de la pomme. Il devait savoir et comprendre. Juan sortie donc de ses appartements pour partir à la recherche de son épouse. Il descendit en bas et emprunta le long couloir et coup de chance, il tomba sur elle avec ses servantes. Juan approcha rapidement d'elle et vient se mettre devant Maria. « Laissez-nous. » Dit-il aux servantes qui semblaient trop collantes à son coup. Il fronce les sourcils en voyant l'une d'elles qui le regarde étrangement. Il fait signe de la main puis un coup qu'il s'est débarrassé d'elles. Il tourna la tête vers son épouse. « N'êtes-vous pas censé vous reposer comme le médecin l'a dit? » Juan lui attrape les deux mains en la regardant et caressent le dessus de la peau. Il ne savait pas comment se faire pardonner.
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Maria Enriquez de Luna

«Duchesse de Gandie ✿»
Maria Enriquez de Luna

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MessageSujet: Re: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptyDim 1 Juil - 22:36


    Maria avait passé sa plus mauvaise nuit depuis qu’elle est là. Elle n’avait pas cessé de pleurer l’enfant qu’elle venait de perdre. De plus, elle ressentait de la douleur physiquement. Le médecin du lui donner une tisane à base de plantes pour l’apaiser. Quand elle prit un peu des couleurs, les servantes demandèrent si Maria pouvait retourner dans ses appartements jugeant qu’il serait mieux pour elle qu’auprès de son époux. Le médecin avec des gardes portèrent la duchesse dans ses appartements. Tandis que les servantes de Juan nettoyèrent les lieux. Quant à celles de Maria, elles se chargèrent de lui faire prendre un bain, de la revêtir d’une nouvelle chemise et l’allongèrent dans son lit. Le médecin resta auprès d’elle le temps que la fièvre parte puis jugeant que tout allait bien ensuite, il quitta les lieux en demandant à la jeune femme et aux servantes de le réveiller durant la nuit si elle en avait besoin. Les servantes restèrent auprès de Maria à la consoler et à l’endormir. Le lendemain matin, la duchesse de Gandie se réveilla épuisée, elle avait l’impression d’avoir fait un mauvais rêve. Elle avait légèrement mal un peu mais ce n’était rien comparé à hier. D’ailleurs, elle avait un peu saignée comme le médecin l’avait prédit. Maria se remit à pleurer, Antonia la prit dans ses bras. Après s’être calmée, on lui fit part qu’elle avait de la visite. Elle pensa dans un premier temps qu’il s’agissait de Juan, son cœur se mit à battre vite, elle redoutait de le voir. Mais, on lui annonça qu’il s’agissait de Sa Sainteté le pape qui avait eu vent de la nouvelle. Maria demanda à ce qu’on le fit entrer. Son beau père vint aux nouvelles et lui donna sa bénédiction pour un nouvel enfant. L’espagnole était croyante alors savoir que le Saint Père encourageait et était confiant qu’ils en aurait d’autres, cela lui fit chaud au cœur. Sa Sainteté repartit à ses occupations après avoir demandé si Juan était violent ou si Juan était venu la voir ce matin. Elle répondit qu’il ne l’était pas et justifia son bleu au visage comme une maladresse de sa part, racontant une anecdote : elle ne regardait pas où elle allait, trop désireuse de raconter la nouvelle à son époux qu’elle n’avait pas vu où elle allait et s’était cogné contre un mur du palais. Elle avait raconté la même excuse au médecin qui l’avait cru à moitié, en tout cas elle l’espérait. Quant à la question de s’il était venu ce matin, elle répondit que oui et qu’il était attentionné à son égard. Maria ne voulait pas mettre dans l’embarras son mari puis elle lui était fidèle sur tout point, elle le soutiendrait même s’il pouvait être le pire des maris par moment. Ne voulant pas se morfondre dans ses appartements, Maria demanda à ses servantes d’aller se promener avec elles. Antonia osa lui tenir tête pour lui dire qu’elle avait besoin de repos mais, rien n’y fait. Elle avait vraiment besoin de se changer les idées. Après avoir revêtit sa plus belle robe de couleur bleu, Maria sortie de ses appartements et arpenta les couloirs, elle marchait doucement car elle n’était pas bien puis elle était encore livide. Alors qu’elle regardait par une des fenêtre du couloir, une de ses servantes lui toucha le bras pour lui faire remarquer la présence de son époux. Maria jeta un regard en direction de Juan qui s’approchait rapidement d’elle. La jeune femme sentit son angoisse monter. Non pas qu’elle avait peur qu’il la frappe mais, elle avait peur de sa réaction à propos de l’enfant. Elle ne lui avait pas dis….enfin à l’origine elle comptait lui dire jusqu’à ce qu’elle découvre Juan dans les bras d’une autre. Borgia souhaitait être seule avec sa femme, il congédia ses servantes. A en voir le regard de son époux envers Antonia et inversement, elle comprit que cette dernière s’inquiétait de la laisser seule avec. Maria pour la rassurer, lui adressa un sourire et lui dit :

    « Todo está bien Antonia. »

    Une fois qu’elles partirent, Juan s’empressa de prendre ses mains qu’il caressa. Maria tressaillit, elle n’osait pas le regarder dans les yeux et pourtant c’est ce qu’elle fit. Lui aussi semblait fatigué. Son époux lui fit la remarque sur le fait qu’elle était debout au lit de se reposer. Elle répondit donc d’une voix neutre :

    « J’avais besoin de me changer les idées mon seigneur. Mais, si vous le souhaitez je peux retourner dans mes appartements. »


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Juan Borgia

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MessageSujet: Re: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptyLun 2 Juil - 1:09

Juan était sorti de ses appartements, il voulait des nouvelles de sa femme et d'ailleurs, il n'était pas au courant de la visite de son père dans ses appartements et pour prendre de ses nouvelles. Il pensait qu'elle était dans ses appartements, mais il semblerait que non, tant pis, il va la chercher jusqu'à la trouver pour en avoir, même si elle n'est pas censée sortir aussi loin que cela puisqu'elle doit se reposer, il était là quand le médecin lui a dit. Juan avait envie de se faire pardonner et il le devait, il ne pouvait pas laisser aller cela comme si rien n'était, sauf qu'il s'était bel et bien passé quelque chose hier soir. Certes, il aimerait que cela soit oublié tout simplement effacé de leur mémoire, mais malheureusement le mal a été fait et il veut essayer de réparer cela, le plus qu'il le peut. Juan avait emprunté le long couloir qu'il longeait dans l'espoir de voir sa femme et puis fort heureusement, il est tombé sur elle et sur ses suivantes, à qui il ordonnait des laissez. Il n'avait pas besoin de petites curieuses et des personnes alentour de leur couple pour parler à sa femme, seule à seule. C'est à elle qui veut parler, pas aux autres. Juan avait lancé un drôle de regard à l'une d'entre elles tout en faisant signe de partir. De vraies mouches. Quoi qu'il en soit, il s'était rapproché de sa femme lorsque celles-ci quittèrent l'endroit tout en caressant ses douces mains fragiles, lui disant, qu'elle devrait être en train de se reposer. « Non, restez très chère. » Juan remonte doucement ses mains vers ses lèvres pour les embrasser avant de venir se placer au côté de sa femme et la prendre par la taille puis commence à faire quelques pas avant de s'asseoir sur un banc pas loin d'eux. Juan y fait asseoir sa femme avant de s'asseoir à ses côtés tout en la regardant. « Veuillez m'excuser de mon absence hier soir après mon départ précipité. Je devais, moi aussi, me changer les idées.. ailleurs. » Ailleurs avec son page. Juan vient poser sa main sur le visage de Maria en caressant la blessure qu'il lui a infligée avec sa main. « J'en suis désolé. » Il vient poser un baiser sur sa joue tout en se collant. « La prochaine fois, frappez à la porte avant d'entrer.. » Lui chuchote-t-il discrètement à l'oreille avant de se décoller tout en la regardant. Cela lui aurait évité de s'énerver et elle n'aurait pas cette blessure sur la joue puis probablement qu'elle aurait encore leur enfant dans son ventre. « Pourquoi n'ai-je pas été au courant de votre grossesse ? Pourquoi me l'avoir caché ? Étais-je vraiment le père de cet enfant ? » Juan la fixe dans les yeux tout en la regardant. Il espérait avoir des réponses sincères à ses nombreuses questions qui se posaient. Savoir pourquoi, n'avait-il pas été au courant de cela. Il espérait qu'elle puisse le pardonner pour sa "' maladresse " d'hier soir. Ce qu'il avait osé faire. Il n'avait pas été plus loin, lorsqu'il s'était placé sur elle, mais il l'avait tout de même giflé et cette marque était présente aujourd'hui. Les gens devaient sûrement se poser des tonnes de questions, tout en espérant que cette dernière ne puisse pas dire la vérité sur ce qui s'était passé.
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Maria Enriquez de Luna

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MessageSujet: Re: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptyLun 2 Juil - 2:37


    Les servantes de Maria la laissèrent pour la plupart à contre cœur. Elles n’avaient pas confiance envers Juan Borgia et s’inquiétaient du sort de leur maîtresse. Son époux prit ses mains avec tendresse pour les lui caresser. Il lui fit remarquer qu’elle n’était pas au lit. La jeune femme se justifia en expliquant qu’elle avait besoin de prendre l’air, rester dans sa chambre à se morfondre lui faisait mal. Elle proposa aussi d’y retourner si c’était le désir principal de Borgia. Ce dernier lui dit de rester, Maria ne se fit pas prier. Juan l’embrassa, elle se laissa faire tout comme il l’entraîna sur le banc pour discuter. La belle espagnole redoutait cette discussion, parler de l’enfant…Son mari s’excusa d’être partit hier soir. Maria repensa à ses cris dans la pièce d’à coté, elle eu des frissons. Il avait besoin de prendre l’air, elle pouvait le comprendre, elle aurait fait pareil à sa place :

    « Ce n’est rien, je vous comprends Juan. »


    Juan vint poser sa main sur sa joue qu’il caressa avant de déposer un baiser dessus. Elle pouvait constater que son tendre était plus doux, qu’il semblait sincère quand il lui avoua qu’il était désolé. La jeune femme prit sa main dans la sienne et lui adressa un sourire :

    « Je vous pardonne. »

    Oui, elle lui pardonnait, elle l’aimait trop pour ça puis ce n’était pas la gifle qui avait été le pire à ses yeux. Quoiqu’il en soit elle préférait oublier afin que son époux déculpabilise de son erreur. Elle espérait seulement qu’il ne recommence pas. Borgia lui murmura à l’oreille un conseil : celui de frapper à la porte avant d’entrée. L’espagnole fut choquée. Elle jeta un regard triste et noir à son mari :

    « Comptez-vous me tromper à nouveau ? »

    Ses autres questions lui firent encore plus de peine que de ce qu’il venait de dire à l’instant. Il osait ne pas comprendre pourquoi elle n’avait rien dit ? Le pire dans tout cela était qu’il ose émettre l’hypothèse que l’enfant n’était pas de lui. Pour qui la prenait-il ? Ce n’était pas une de ses catins, elle avait des valeurs et ne connaissait que le corps de son mari. Maria prit sur elle pour ne pas pleurer de nouveau, vu qu’il osait la regarder droit dans les yeux, elle fit de même et répondit d’un ton sec et froid :

    «  Je ne l’ai constaté qu’hier mon cher ! Je comptais vous l’annoncer le jour même, je vous ai cherché de partout et vous étiez toujours occupé. J’ai décidé d’attendre le soir pour vous en faire la surprise et vous satisfaire comme une épouse doit le faire. La suite, vous la connaissez…vous voir dans les bras d’une autre m’a brisé le cœur. Vous pensez vraiment que j’allais faire comme si de rien n’était pour vous dire que j’étais enceinte ? Je me sens salis et trahis. »

    Maria se leva d’un seul coup du banc, elle ne voulait pas rester auprès de lui, il la décevait au plus haut point.

    « Comment pouvez-vous insinuer une telle chose ? Je ne suis pas une de vos catins ! J’ai des valeurs et que Dieu m’en sois témoin. Je me demande si je n’aurais pas du avoir un amant lorsque je vois que vous me négligez et m’ attristait. Vous ne savez pas vous y prendre avec les femmes, votre femme ! Maintenant je vous prie de m’excuser. »


    Maria était énervé et triste à la fois. Elle commença à reprendre sa marche. Juan Borgia allait-il la retenir maintenant qu’il avait eu ses explications ? 

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Juan Borgia

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MessageSujet: Re: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptyLun 2 Juil - 3:19

Il avait une ambiance froide soudainement. Ce n'était pas pour autant que Juan voulait que son épouse quitte l'endroit pour retourner dans ses appartements, du moins, pas pour l'instant, il avait besoin d'avoir des réponses à ses questions. Et elle avait intérêt à être honnête. Il s'excusa pour son absence de la veille, il avait besoin de se changer les idées, même si cela n'avait fonctionné qu'un simple instant. Enfin, c'était mieux que cela, il ne pouvait pas rester dans ses appartements à continuer à tout massacrer ce qu'il voyait sur son passage et plus, il avait mal dormi. Juan continuait d'être désolé tout en s'approchant d'elle pour lui murmurer que la prochaine fois, qu'il voudrait mieux qu'elle frappe à la porte et qu'elle devra entrer que lorsqu'il en donnerait l'accord. C'est vrai, cela aurait évité tellement de choses et aujourd'hui, la situation ne sera pas aussi désastreuse que cela. Il fronça soudainement les sourcils en la regardant. Il ne comptait pas répondre à cela, c'était utile d'y répondre selon lui, elle ne veut pas avoir plus mal qu'elle ne l'est déjà. Borgia se mit à la fixer dans les yeux lui posant diverses questions, il voulait savoir pourquoi elle lui avait caché ce bébé et si cela était vraiment le sien. Il voulait la vérité et espérait l'obtenir évidemment. Sa femme semblait révoltée soudainement puisqu'elle se mit à lui répondre de façon froide et sèche. Il soupira légèrement en l'écoutant. Et comme par hasard, elle venait lui annoncer cela, était-ce là un drôle de hasard ? C'était curieux tout de même. Il baissa légèrement la tête quelques petites secondes, il lui avait brisé le coeur et pourtant, personne n'est parfait. Elle devait sûrement se douter ce qui se passerait dans leur couple, mais ils devaient se marier peu importe leur envie et ce qu'ils voulaient. Il leva le regard vers elle. Ce n'est pas sa faute si ces habitudes ne peuvent pas être débarrassé aussi vite que cela, il essaye de faire un effort, mais en vain, c'est dur et il ne peut pas s'empêcher d'aller voir ailleurs, même si sa femme est désirable.

Le Borgia se leva soudainement à son tour en la regardant dans les yeux. Elle continuait encore et d'une façon qu'il n'apprécia pas vraiment. Il s'approche doucement d'elle tout en la fixant puis il décide de la coincer dans un coin tout en venant lui saisir le menton soudainement. Certes, il avait des remords pour la gifle, mais il avait d'autre moyen de lui faire comprendre que c'est lui le chef, l'époux, l'homme du couple et non elle. « Vous croyez vraiment que vous faites ce que vous voulez ? Je suis votre époux, c'est moi qui décide et je fais ce qui me plaît. » Juan descend sa main qu'il dépose sur le ventre de sa femme puis il presse sa main pour lui faire ressentir la douleur qu'elle doit toujours ressentir à cause de la perte du bébé. « Au moins, mes catins savent se taire quand il le faut, tandis que vous, sale petite catalane, vous commencez à m'insupporter avec vos dires. » Il lui lance le ventre avant de lui saisir les poignets qu'il se met à serrer soudainement. Il jette un regard de la tête aux pieds en la fixant. « Si vous pouviez être plus désirable et plus ouverte d'esprit, je n'irais pas ailleurs et je pourrais prendre soin de vous, ma très chère femme. » Juan la lâche en se reculant légèrement. Certes, elle est très jolie, malgré son allure pâle de malade, mais il est vrai, qu'il aimerait peut-être qu'elle soit plus ouverte d'esprit, de sorte à le désirer et à le satisfaire. Juan lui lance un regard noir.
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MessageSujet: Re: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptyLun 2 Juil - 4:01

    Comme elle s’y attendait, il ne répondit rien sur le fait qu’il comptait revoir des dames. Elle était blessée et encore plus en entendant la suite. Comment pouvait-il être aussi ignoble avec elle ? Qu’avait-elle fais de mal pour mériter une telle chose ? Maria prit sur elle pour ne pas pleurer, il fallait qu’elle reste forte ce qui n’était pas facile vu le tourment qu’il lui faisait. L’espagnole décida de mettre un terme à leur discussion. La jeune femme envisageait de rejoindre ses servantes mais, voilà que son époux vint se mettre devant elle pour lui barrer le chemin. Puis soudainement, il l’attira dans un coin pour la plaquer contre le mur et lui tien le menton. Maria ne quitta pas son regard, elle gardait la tête haute ne voulant pas se soumettre. Et voilà que Borgia lui rappela sa condition de femme, d’épouse, il fallait qu’elle lui obéisse au doigt et à l’œil. La demoiselle ne faisait que cela et pourtant il continuait de le lui reprocher. Durant ses trois semaines, elle avait su répondre à ses désirs et ne l’avait jamais enquiquiner jusqu’à présent. Néanmoins, la veille avait été une trahison à ses yeux sur tout les points, elle ne comptait pas se taire pour cela.

    « Vous avez épousé une espagnole, vous assumez mon sang chaud ! Je continuerais de vous respecter le jour où vous en ferez de même pour ma personne. Je vous l’ai dis hier mon cher, cela marche dans les deux sens. »


    Maria savait qu’elle n’avait pas le droit de lui parler de la sorte. Elle devait se taire et l’écouter. Mais, il s’agissait d’une espagnole, sa mère se comportait comme ceci avec son père. Les femmes avaient du caractères en Espagne. La jeune femme souhaitait imposer ses désires. Elle en avait marre de jouer la petite femme modèle tandis que Borgia la traitait comme catin, en tout cas il lui donnait cette impression. Juan ne semblait pas se satisfaire de cette réponse et pressa son ventre qui lui faisait horriblement mal. Elle se mordilla la lèvre inférieure pour ne pas hurler. Si elle se remettait à saigner ce serait de nouveau sa faute. En plus de cela il disait que ses catins savent se taire et il l’insulta de sale catalane. Pour finir, il lui lâcha le ventre pour lui prendre ses poignets et les lui serrer. Maria reprit sa respiration bien qu’elle ne se sentait pas bien, elle était encore plus blanche que toute à l’heure. La douleur de ses poignets, lui faisait mal aussi mais, elle ressentait surtout la douleur au ventre continuer. Il osa lui reprocher de ne pas être désirable et ouverte d’esprit, c’était la meilleure ! Il ne se rendait pas compte qu’elle était novice ? Pour qu’elle puisse prendre de l’assurance il lui fallait un époux tendre et affectueux avec elle. Ce n’était pas en la violentant qu’elle ferait ses efforts. Surtout qu’elle l’avait fait hier soir mais, monsieur était en train de s’envoyer en l’air avec une de ses catins. Il la lâcha enfin. Il voulait jouer à ce petit jeu, il allait la trouver, elle n’était plus à ça près. Maria décida de faire une chose qu’en temps normale elle n’aurait pas osée. Elle s’approcha de Juan qui s’était reculé et s’empara de son entrejambe pour la lui serrer avant de commencer à le caresser à travers le pantalon. Elle déposa des baisers dans son cou avant de lui mordiller le lobe de l’oreille et lui murmurer :

    « Allez donc voir vos catins mon amour puisque je ne peux vous satisfaire…mais sachez une chose mon tendre…ses femmes ne vous donneront jamais un fils. Si vous voulez avoir un enfant légitime, il faut m’avoir hors, je n’écarterais plus les jambes pour vous ! Soyez mécontent et la première chose que je fais en rentrant dans mes appartements est d’écrire une lettre à Enrique Enriquez et une autre à Sa Sainteté. Je leur ferais part des mauvais traitements que vous m’infligez. »

    La jeune femme rentra sa main dans le pantalon pour approfondir ce qu’elle faisait.

    « Si vous souhaitez me revoir un jour dans votre lit, je vous prie de réfléchir à mes considérations. »

    Elle retira sa main et le contourna s’apprêtant à partir, elle avait besoin de repos, son ventre lui lançait des douleurs.


Dernière édition par Maria Enriquez de Luna le Lun 2 Juil - 10:53, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptyLun 2 Juil - 5:09

Juan avait reçu réponses à ses questions, peut-être pas de la façon dont il aurait aimé mais bon, apparemment, il ne peut pas trop demander à sa façon, car elle semble réagir à la plupart de ses remarques. Il voulait savoir si c'était son enfant à lui, sinon pourquoi lui avoir gâché et ce, même si elle dit qu'elle était pour lui dire, la soirée où elle le surprend avec une fille sans importance. C'était vraiment un pur hasard, c'est vrai, mais il aurait aimé le savoir plutôt dans la journée, même s'il avait été en réunion avec son père et son frère, cela aurait répondu à la question de son père qui lui avait posé durant la réunion à trois, Juan avait tout simplement répondu qu'il espérait qu'elle le soit très bientôt et lorsque ce son voeu se réalise, elle perd le bébé dans le même jour. Une vraie malchance et si elle se mettait à les perdre à tous les coups ? Franchement, il n'a pas du tout envie que ce malheur s'abatte sur lui, il en a déjà assez comme cela. Et puis, il aurait pu se rassurer avant de partir en guerre que sa femme soit enceinte et qu'au retour, il puisse arriver pile où elle doit accoucher, cela serait vraiment pire, mais ça n'arrivera pas apparemment. Il pouvait tout de même continuer de rêver. Sa femme semblait vraiment en colère et cela se voyait dans le ton de sa voix, en même temps, il ne pouvait pas vraiment lui en vouloir avec ce qu'il a fait. Il n'avait pas été très tendre avec sa femme.

Le jeune taureau s'était levé à son tour afin de s'approcher de celle-ci et de l'empêcher de partir, car il en avait pas fini avec elle. Il n'apprécia toujours pas sa façon de parler et elle prenait vraiment sûre d'elle, comme si la gifle n'avait pas été assez claire et ni ses paroles. Juan l'avait donc coincé dans le coin en essayant de lui faire comprendre que c'est à lui de prendre les choses en main dans leur couple et que c'est lui, qui a le dernier mot à tout. Il lui disait par la même occasion, qu'il fait ce qu'il a envie de faire et que cela lui plaise ou non. Cela n'allait sûrement pas lui plaire, mais il ne pouvait pas se taire plus longtemps et puis, elle non plus, elle continuait à parler et de façon à ne pas se retenir. Il avait osé placer sa main sur le ventre de son épouse et de sorte à lui faire du mal en poussant sa main sur son ventre pour lui faire ressortir la douleur. Il essayait de lui faire comprendre que ces catins savent se taire comparer à elle qui continue de répliquer sans se soucier de ce que son époux pourrait lui faire. En tout cas, leur couple ne va pas dans le bon chemin, ils foncent tout droit dans un mur et jamais il ne pourra pas être amoureux d'elle, si elle continue à être ainsi. Après avoir retiré sa main, il s'était saisi de ses poignets qu'il avait serrés en répliquant toujours à Maria. Borgia la voulait plus désirable que cela, plus ouverte et de sorte à ce qu'elle puisse le satisfaire comme il le veut sinon, pas étonnant qu'il aille voir ailleurs, c'est ce qu'il lui disait avant de la lâcher. Comment pouvait-il assumer son sang, qu'importe son sang, elle reste inférieure à lui et elle se doit de se taire, or, elle ne le fait toujours pas. Borgia s'était donc reculé en la regardant toujours. Il espérait qu'elle est comprise, mais ne fut pas le cas, car elle osait s'approcher de lui. Borgia grimaça soudainement en sentant sa main lui serrer l'intimité. Il lui lança un regard vraiment noir, elle continuait vraiment de le chercher.

Il se mit à bouger soudainement en sentant sa main qu'il commençait à le caresser. Il ne comprenait pas trop, mais il n'apprécia pas cela, mais pas du tout. Juan resta froid face à ses baisers qu'elle portait dans son cou et même lorsqu'elle lui mordilla le lobe de l'oreille. Certes, il ne pourra pas avoir d'enfant légitime, c'est vrai, mais il aurait au moins, des enfants. Oh non, elle allait ouvrir de nouveau ses jambes, les écartés quand il le voudra, si elle veut vraiment qu'il la viole, alors, il le fera, sans aucun remords. Hier, il l'avait épargné, mais si elle continue ce petit jeu, il le fera très certainement. Il lâcha un soupir discret en sentant sa main sur son intimité puisqu'il faut dire qu'il avait une certaine douleur. Il secoua légèrement la tête et en fronçant les sourcils. Elle espérait quoi, que son père puisse la croire? Peut-être son foutu père, mais pas le pape et il fera en sorte qu'elle se taise pour de bon, cette fois-ci. « Dans ce cas, je demanderais le divorce à mon père dès ce soir et puis quel homme voudrait d'une femme qui n'est plus pure et qui de plus, a déjà perdu un enfant. Personne ne voudra de vous, vous êtes condamné à m'avoir comme époux et je ferai en sorte de vous faire vivre un enfer, si vous continuez à jouer à la peste. Jamais vous pourrez avoir d'amant, je les ferais tous tués et votre jolie tête, que je ferai mettre une pique comme décoration devant les portes de Rome. Cela vous tente peut-être ? » Juan s'approche d'elle en caressant sa joue tout en riant légèrement. « Vous croyez vraiment que mon père va laisser faire une idiote dans votre genre briser l'alliance avec l'Espagne ? Vous ne connaissez pas ma famille, mais allez-y ! Allez donc vous plaindre auprès d'un père qui chérit son fils comme si c'était de l'or. Faites donc. Ne m'importunez plus à présent, je ferai en sorte qu'on vous enferme dans votre chambre. » Il retire sa main puis commence à marcher doucement. Il pouvait lui aussi se mettre à faire des menaces et qu'il va vraiment mettre à l’exécution, s'il entend que sa femme a osé prendre un amant. Elle ne risque pas d'avoir une simple gifle, ça serait pire.
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Maria Enriquez de Luna

«Duchesse de Gandie ✿»
Maria Enriquez de Luna

  NOLI ME TANGERE : Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv 120724115232765541
  CRÉDITS : Mach, Tiny & Tumblr
  CÉLÉBRITÉ : Gemma Arterton
  PARCHEMINS : 100
  ARRIVÉ(E) À ROME : 17/03/2012

Le miroir de l'âme
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MessageSujet: Re: Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv   Se faire pardonner, n'est pas chose facile ▲ pv EmptyLun 2 Juil - 11:48

    Le couple battait de l’aile. Il faut dire que Maria n’avait pas aimé être traité de la sorte hier soir. Le voir dans les bras d’une autre alors qu’elle pouvait le satisfaire lui faisait mal. Elle ne comprenait pas pourquoi il lui faisait une telle chose. Elle avait pourtant était docile ses trois semaines en lui apportant du plaisir et en étant aux petits soins pour lui. S’il ne la traitait pas comme si elle n’était qu’un objet ou une simple conquête, elle aurait réagit différemment. Maria avait de l’honneur à défendre, celui de sa famille et de sa personne. Elle défendait aussi l’honneur de son mari en public mais, qu’il ne s’attend pas à l’avoir respectueuse en privée s’il ne lui rendait pas l’appareil. C’est en silence qu’elle se mit à encaisser la douleur. Lui faire mal au ventre alors qu’elle venait de perdre leur enfant était bas. Ce n’était pas comme cela qu’elle allait changer d’opinion. Il lui montrait une fois de plus qu’il n’en avait que faire d’elle mais seulement de ses propres intérêts. Après lui avoir provoqué une douleur au ventre, Juan s’empara de ses poignets pour les lui serrer. La douleur était douce comparé à son ventre, elle sentait qu’elle allait saigner de nouveau. Maria ne comprenait pas ses reproches. La jeune femme savait qu’elle était très belle mais, il lui demandait des choses qu’elle ne connaissait pas. Elle avait été longtemps dans un couvent ou du moins jusqu’à ses fiançailles avec Pedro Luis et encore ils n’avaient jamais rien fait si ce n’est de parler le temps d’attendre que le mariage soit préparé. Malheureusement, Pedro Luis était mort avant. S’il souhaitait qu’elle soit plus ouverte, plus provocante, elle allait le faire. Maria attrapa l’intimité de son époux pour le lui faire comprendre tout en le mettant en garde sur de ne pas la traiter ainsi. Cela ne marcha point. Borgia se montra sans scrupule en la rabaissant une fois de plus et en remettant sur le tapis qu’elle avait perdu l’enfant. Si elle l’avait perdu c’était avant tout parce que Juan l’avait violenté et perturbé. S’il n’était pas en train de s’envoyer en l’air avec la première venue ils auraient pu savourer cette bonne nouvelle et s’unir. Le divorce ne lui faisait pas peur et encore moins de ne pas avoir de prétendant. Elle préférait retourner au couvent que de devoir subir un mariage désastreux une fois de plus. Quant aux amants, ses paroles à son sujet ne l’atteignait pas. Maria n’avait jamais envisagé de prendre un amant, comme elle l’avait si bien dit elle avait des valeurs et donc elle appartenait à Juan. D’ailleurs, elle appliquait ce qu’il ne cessait de lui répéter depuis hier : elle lui appartient. Le plus aberrant en fait c’était de se dire que Borgia la pensait vraiment capable d’une telle chose. Borgia lui caressa la joue en se moquant d’elle. Il la traita d’idiote pour oser briser une alliance avec l’Espagne et encore plus se plaindre à Rodrigo Borgia. Maria était prête à tout pour se faire entendre, elle était tellement désemparé de la situation. Elle savait que ses chances étaient maigres et qu’on risquait d’être sourd à sa demande. Elle n’allait rien faire néanmoins, elle ne pouvait pas subir pendant longtemps cette situation. Juan commença à partir et elle ne se sentait pas bien. Elle alla s’asseoir sur le banc. Elle était livide. Une de ses servantes accouru vers elle. Elle lui demanda si ça allait. Maria demanda seulement à ce qu’on lui prépare ses valises. Elle ne savait pas où elle irait mais, peu importe.
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